Counseling et psychothérapie intégrative

Qui regarde dans le miroir? C'est Barbara....

Pourquoi mon cabinet a-t-il un nom français, étant donné que je suis Néerlandaise ? Parce que je suis passionnée de la langue et de la culture françaises depuis longtemps déjà ; j’ai fait des études de français quand j’étais plus jeune. J'ai adoré perfectionner mon français et évidemment j'ai lu beaucoup de romans. Les narrateurs et les personnages m'ont montré des problèmes et leurs façons de les résoudre. Leur langage exprime des choses et en dissimule aussi. J'ai étudié aussi l'ambigüité.  Cela m'intrigue toujours.

Après mes études j'ai travaillé comme professeur de français, puis comme rédactrice et manager de projets. À cette époque j'ai eu mes deux enfants.

Ma vie privée a été bouleversée par certaines choses qui m'ont amenée à partir à la recherche de mon monde intérieur. Pendant une première thérapie j'ai découvert pas mal de choses sur moi-même et j'ai été capable de résoudre certains problèmes. Des années plus tard j'ai constaté qu'il fallait poursuivre cette recherche intérieure pour devenir plus heureuse. Je suis partie en France pour faire des thérapies de groupe, ce qui m'a permis de changer encore ma vie.

Le développement personnel est un processus qui se poursuit toujours; c'est devenu un mode de vie. Je me suis rendu compte que je voulais aider à devenir plus heureux ceux qui en ont besoin. Ceci m'a amenée à faire une formation de thérapeute intégrative.

Toutes mes capacités, mes expériences et mes connaissances antérieures se rejoignent dans cette formation: l'imagination dont on a besoin pour entrer en contact avec l'inconscient, le jeu avec les mots dans lequel surtout les thérapeutes français excellent ('mettre des mots sur les maux'), ma propre transformation. J'ai acquis une boîte à outils pleine de techniques pour accompagner une personne dans sa voie personnelle, la faire découvrir ses possibilités. Et ça marche! C'est une joie de les voir changer, agir, devenir plus heureuses. Je me sens privilégiée de pouvoir assister à ce processus.

Jean Cocteau, Essai de critique indirecte